Les vendredis 18 et 30 janvier devant le Consulat d’Espagne à Montpellier.
En Espagne, le 16 décembre dernier, onze personnes ont été arrêtées dans ce qu’on appelle « Opération Pandora ». Les 11 détenuEs (dont 4 ont été libérés sous caution le 18 décembre) sont tou(te)s des activistes anarchistes. L’avocat de l’un de nos compagnons toujours sous les verrous (membre de la CNT-AIT de Sabadell) affirme que les accusations reposent seulement sur le fait que ces militantEs s’organisent pour défendre leurs idées de justice et de liberté. Les preuves publiées par les médias sont un livre au titre provocateur Contra la democracia *, des couteaux (et surement des fourchettes aussi…), des recharges de camping-gaz, des cahiers et des ordinateurs.
Il est clair que ce type de méthode ne vise qu’à persécuter et criminaliser toujours davantage les mouvements libertaires. L’État cherche à briser notre solidarité, à effrayer nos militants et à nous discréditer aux yeux de l’opinion publique. Voilà pourquoi, plus que jamais, nous devons nous serrer les coudes au-delà des frontières.
Depuis ce brutal coup de filet, l’opération Pandora est vivement dénoncée, et ceci jusqu’à un niveau international où un soutien spontané s’est immédiatement mis sur pied. Des manifestations et des rassemblements exigeant la libération des prisonniers se sont déroulés dans de nombreuses villes de Catalogne et du reste de l’Espagne : Barcelone (3000 personnes), Berga, Gérone, Igualada, Manresa, Sabadell, Tarragone, Reus, Vilafranca, Madrid, Piornal, Saragosse, Huesca, Compostelle, Vigo, Grenade, Séville, Cordoue, etc.
Les détenu(e)s ont ouvert un compte bancaire : ES68 3025 0001 19 1433523907 (Caixa Enginyers)
Il est clair que ce type de méthode ne vise qu’à persécuter et criminaliser toujours davantage les mouvements libertaires. L’État cherche à briser notre solidarité, à effrayer nos militants et à nous discréditer aux yeux de l’opinion publique. Voilà pourquoi, plus que jamais, nous devons nous serrer les coudes au-delà des frontières.
Depuis ce brutal coup de filet, l’opération Pandora est vivement dénoncée, et ceci jusqu’à un niveau international où un soutien spontané s’est immédiatement mis sur pied. Des manifestations et des rassemblements exigeant la libération des prisonniers se sont déroulés dans de nombreuses villes de Catalogne et du reste de l’Espagne : Barcelone (3000 personnes), Berga, Gérone, Igualada, Manresa, Sabadell, Tarragone, Reus, Vilafranca, Madrid, Piornal, Saragosse, Huesca, Compostelle, Vigo, Grenade, Séville, Cordoue, etc.
Les détenu(e)s ont ouvert un compte bancaire : ES68 3025 0001 19 1433523907 (Caixa Enginyers)
Syndicat intercorporatif de Montpellier CNT-AIT